Constat.
J'écris trop, trop vite, et mal.
Depuis que je suis de retour ici, le seul article qui ait, je crois, de la valeur ; qui ait vraiment quelque chose à dire, quelque chose de nouveau peut-être, ou du moins peut-être de vivant - qui pousse, qui grandit, qui tend vers on ne sait quoi, mais qui tend -, c'est le tout premier - celui du 3 janvier.
Depuis, quoi ? De fades étalages d'un quotidien vide d'intérêt, des simulacres de ce qui pourrait vaguement ressembler à de la mauvaise poésie, de vagues tentatives de reflexion qui ne font que ressasser quelques réponses sans questions, expression pathétique de la paralysie de ma pensée.
J'ai donc mis de côté tout ce ramassi de blabla - à quelques exceptions près. Et pour la suite... et bien, nous verrons. Je ne sais pas encore comment je m'y prendrai, mais une chose est sûre : il faut que les choses évoluent, sur ces pages !